Marchant d’un pas décider vers les portes de la ville, armée d’une ridicule dague et d’un arc de bois, Torak avait piètre allure dans ses habits crasseux. Se dirigeant en ligne droite vers les portes, les gardes s’interposèrent.
-Dis-moi le pouilleux, ou vas-tu comme sa?
Torak examina le garde du regard. Une armure polie, une épée lourde ornée de pierres précieuses… De l’équipement pour intimider. Il savait que ces armes n’avaient pas servit souvent, donc que les gardes n’étaient pas un réelle danger. Il laissa donc libre à ses paroles.
-Toi, tu dois réellement pratiquer ton sens de l’observation… Repense à ta question. Vers ou ais-je l’impression de me diriger? Essais d’utiliser ton sens de déduction. J’ai un indice pour toi : le nom de ma destination commence par : Ned et fini par : Mor.
Puis, il reprit sa marche vers la cité. Laissant derrière lui le garde, bredouille. Le deuxième garde, trop occupé à rire du premier le laissa passer.